Vous arrive-t-il de somnoler ou de vous endormir (dans la journée) dans les situations suivantes : Même si vous ne vous êtes pas trouvé récemment dans l'une de ces situations, essayez d'imaginer comment vous réagiriez et quelles seraient vos chances d'assoupissement.

Jamais d'assoupissement : « cela ne m'arrive jamais ».

(0)
Risque faible d'assoupissement : « il y a un petit risque que cela m'arrive ».

(1)
Risque modéré d'assoupissement : « il m'arrive de somnoler dans ces circonstances ».

(2)
Risque élevé d'assoupissement : « je somnole à chaque fois dans cette situation ».

(3)
Jamais d'assoupissement : « cela ne m'arrive jamais ».

(0)
Risque faible d'assoupissement : « il y a un petit risque que cela m'arrive ».

(1)
Risque modéré d'assoupissement : « il m'arrive de somnoler dans ces circonstances ».

(2)
Risque élevé d'assoupissement : « je somnole à chaque fois dans cette situation ».

(3)
Jamais d'assoupissement : « cela ne m'arrive jamais ».

(0)
Risque faible d'assoupissement : « il y a un petit risque que cela m'arrive ».

(1)
Risque modéré d'assoupissement : « il m'arrive de somnoler dans ces circonstances ».

(2)
Risque élevé d'assoupissement : « je somnole à chaque fois dans cette situation ».

(3)
Jamais d'assoupissement : « cela ne m'arrive jamais ».

(0)
Risque faible d'assoupissement : « il y a un petit risque que cela m'arrive ».

(1)
Risque modéré d'assoupissement : « il m'arrive de somnoler dans ces circonstances ».

(2)
Risque élevé d'assoupissement : « je somnole à chaque fois dans cette situation ».

(3)
Jamais d'assoupissement : « cela ne m'arrive jamais ».

(0)
Risque faible d'assoupissement : « il y a un petit risque que cela m'arrive ».

(1)
Risque modéré d'assoupissement : « il m'arrive de somnoler dans ces circonstances ».

(2)
Risque élevé d'assoupissement : « je somnole à chaque fois dans cette situation ».

(3)
Jamais d'assoupissement : « cela ne m'arrive jamais ».

(0)
Risque faible d'assoupissement : « il y a un petit risque que cela m'arrive ».

(1)
Risque modéré d'assoupissement : « il m'arrive de somnoler dans ces circonstances ».

(2)
Risque élevé d'assoupissement : « je somnole à chaque fois dans cette situation ».

(3)
Jamais d'assoupissement : « cela ne m'arrive jamais ».

(0)
Risque faible d'assoupissement : « il y a un petit risque que cela m'arrive ».

(1)
Risque modéré d'assoupissement : « il m'arrive de somnoler dans ces circonstances ».

(2)
Risque élevé d'assoupissement : « je somnole à chaque fois dans cette situation ».

(3)
Jamais d'assoupissement : « cela ne m'arrive jamais ».

(0)
Risque faible d'assoupissement : « il y a un petit risque que cela m'arrive ».

(1)
Risque modéré d'assoupissement : « il m'arrive de somnoler dans ces circonstances ».

(2)
Risque élevé d'assoupissement : « je somnole à chaque fois dans cette situation ».

(3)

Interprétation de l’Échelle d’Epworth

  • On peut considérer un score de 0 à 6. Un score compris entre 7 et 9 est contestable et peut signaler un état pathologique. Un score supérieur à 10 signale un manque de sommeil pathologique.

Les références

  • Johns MW. A new method for measuring day time sleepiness : The Epworth Sleepiness Scale. Sleep 1991; 14:540-5.

L’échelle d’Epworth est un questionnaire auto-administré mesurant la somnolence diurne excessive. Elle comporte 8 situations de la vie courante (regarder la télévision, lire, être passager dans une voiture, parler avec quelqu’un, etc.).
Chaque situation est cotée de 0 (aucun risque de s’assoupir) à 3 (fort risque). Le score total varie de 0 à 24.
0–9 : normal.
10–15 : somnolence modérée.
≥16 : somnolence sévère.
L’intérêt est d’orienter vers une exploration du sommeil (polygraphie, polysomnographie) pour dépister un syndrome d’apnées du sommeil ou une narcolepsie.
Avantages : simple, rapide, validé.
Limites : subjectif, dépend de l’auto-évaluation du patient.
C’est un outil de dépistage incontournable en pneumologie et médecine du sommeil.